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Jour 23 - Le retour en France

Jour 23 - Et bien voilà, l'heure du retour a sonné

flèche à garder  Vendredi 14 Août

Bon bah, on y est, c'est l'heure du départ.

Notre vol est prévu à 16 heures et nous avons programmé un départ de Sanur à 13 h 30.

Nous avons encore le temps de faire tranquillement les valises.

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Nous avons aussi encore le temps de faire une dernière balade dans Sanur et de prendre notre dernier repas indonésien.

sanur

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Il est temps maintenant de retourner à la chambre et de nous charger de nos bagages. Après des au revoir chaleureux à l'équipe du staff nous rejoignons la rue Danau Tambligan et nous postons sur le trottoir en bord de route. Immédiatement nous sommes pris en charge par un Blue Taxi. Pour nous être renseignés précédemment nous savions que le tarif conventionné était de 150 000 roupies pour un transfert jusque l'aéroport de Denpasar. C'est donc sereins que nous montons.

Le chauffeur démarre et, après quelques minutes, nous pose la question pour nous stupide : "combien ?". Très surpris nous lui répondons "150 000", et lui de nous répondre : "non, 200 000 !"Assez sèchement nous lui faisons la remarque que le tarif est de 150 000 et que nous ne paierons pas cette somme. Il se met alors à râler en insistant sur le fait qu'il veut 200 000 roupies. Ni une ni deux nous lui disons de nous descendre, que nous trouverons bien quelqu'un d'autre pour nous mener à l'aéroport et bon gré mal gré il dit OK, c'est bon, 150 000 roupies. Comme quoi quand on dit qu'il ne peut pas y avoir d'arnaque avec les Blue Taxis ce n'est pas vrai !

45 minutes plus tard nous sommes déposés devant le terminal de l'aéroport. Le chauffeur, sans un mot, décharge nos valises puis redémarre sans un au revoir ! Rien à faire de sa malhonneteté et de sa mauvaise humeur. L'essentiel pour nous est que nous sommes bien arrivés à l'aéroport !

L'enregistrement se passe très bien. Nous réglons la somme de 200 000 roupies par personne correspondant à la taxe de sortie du territoire (comprise depuis le 1er mars 2015 dans le billet d'avion).

Tout comme à Bruxelles nous demandons à être placés ensemble sur le vol malheureusement cela n'est pas possible. Nous serons placés à 4 rangées l'un de l'autre ce qui, pour ce premier vol d'une durée de 4 heures, n'est pas très gênant. Ce le sera davantage pour le seconde vol Bangkok-Bruxelles d'une durée de 11 heures et nous sommes un peu déçus. Voyant nos mines dépitées l'employée nous signale que nous pouvons faire la demande d'être ensemble au guichet de la compagnie Thaï Airways à l 'aéroport de Bangkok.

Comme prévu nous décollons à 16 heures. Après un vol sans problème nous voici arrivés à Bangkok. Immédiatement nous rejoignons le comptoir Thaï Airways pour demander à être placés ensemble sur le prochain vol... l'employée consulte son ordinateur... pour nous informer que ce n'est malheureusement pas possible, l'avion est complet. Bon bah tant pis, nous volerons chacun de notre côté. On ne va pas non plus faire la fine bouche après les vacances qu'on vient de passer !

Maintenant il n'y a plus qu'à prendre notre mal en patience... une attente de 5 heures à esssayer de dormir un peu sur des sièges très inconfortables devant le passage incessant de voyageurs...

C'est avec plaisir que nous rejoignons la porte d'embarquement. Au moment de passer nos passeports au contrôle ceux-ci émettent un Bip très inquiétant. Problème ? Sommes-nous en infraction ? Non non, tout simplement ce bip informe le contrôleur que nous avons demandé un changement de siège et ce même contrôleur a le plaisir de nous informer que nous sommes maintenant placés l'un derrière l'autre. Enchantés de la chose nous patientons maintenant dans le hall d'embarquement jusqu'à ce que, quelques minutes plus tard, nous pouvons entendre : "Sir and Madam LEROY are asked to appear at the check-in desk" ou, en français, que nous, Monsieur et Madame LEROY, on est invités à se présenter au comptoir. Interloqués nous nous levons, nous présentons devant un très très gentil contrôleur qui, tout sourire, nous informe que tout compte fait ils ont réussi à nous placer l'un à côté de l'autre sur le vol Bangkok Bruxelles.

Nous embarquons donc et rejoignons nos places en queue d'avion. La cerise sur le gâteau : notre allée ne compte que nos 2 sièges. Le grand luxe !

Nous voilà partis pour 11 heures de vol. Nous dormirons un peu et atterrissons à Bruxelles comme prévu à 7 h 30.

Récupération des bagages : OK
Récupération de la voiture : OK

Météo : pas OK ! il pleut, nous avons froid, et rejoignons la France sous une averse... que c'est triste.

 
 

BILAN DE NOTRE VOYAGE

Avant tout, nous ne regrettons franchement pas d'être partis 3 semaines, durée minimum pour visiter les sites essentiels de Bali, profiter d'une des îles Gilis et découvrir un coin de paradis sur Lombok, tout en s'accordant des pauses détente. Bien évidemment il y avait d'autres coins tout aussi intéressants à explorer mais pour cela il aurait fallu rester beaucoup plus longtemps.

  Ce que nous avons aimé  gif

- le soleil !
- l'accueil et la gentillesse des balinais
- les plages de Gili Meno et de Kuta
-
nos balades à scooter
- les sourires des enfants
- la diversité culturelle et ethnique de l'archipel
- le vert et le calme des rizières
- le spectacle de danse traditionnelle à Ubud
- la gastronomie indonésienne
- notre rencontre avec Agus
- le spectacle du retour des pêcheurs de bon matin à Amed
- le massage à Ubud

Ce qui nous a fait sourire  gif 


- les sollicitations incessantes en ville pour demander si nous avions besoin d'un chauffeur ou d'un taxi
- les négociations avec les vendeuses sur le marché d'Ubud lors de l'achat de souvenirs
- la circulation dans Ubud
- l'alignement des scooters garés au bord des trottoirs à Ubud
- les incesssantes cérémonies dans tous les temples de Bali
- les singes
- les accès aux plages payants à Kuta

 

    Ce qui nous a fortement déplu  gif

- le manque de panneaux indicateurs lorsque l'on sort des grandes villes
- les routes défoncées dans les villages
- l'accueil qui nous a été réservés à notre arrivée à l'hôtel à Amed, ainsi que la malhonnêteté du manager en nous vendant les tickets de fastboat
- la difficulté à choisir une compagnie de fastboats ainsi que celle à obtenir tout renseignement concernant la prestation proposée
- la douche froide à Gili Meno !
- l'appel à la prière dès 4 heures du matin à Kuta
- la visite du village de Sade

 

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