une dernière fois nous profitons des "hello" des enfants
Nou, natif de l'île et qui a a passé toute son enfance dans cette école nous montre son ancienne classe.
Instants culturels bis...
direction maintenant la pagode du wat
ces statues représentent des fées
le cimetière de la pagode
nous remontons dans le tuktuk
où Dominique est déjà installé
non non, ce n'est pas encore l'heure de la sieste !
Une fois la sieste de Dominique terminée nous repartons, direction la plage de Koch Dach. Nou Sopheak nous propose d'abord un arrêt chez ses parents qui vivent encore sur l'île. "No problem", c'est avec un grand plaisir que nous rencontrons sa famille : sa mère, tisseuse de soie, son père réparateur de vélos, son frère et sa soeur qui habitent encore chez leurs parents afin de leur venir en aide.
Instants d'émotions...
Nous sommes accueillis très chaleureusement et restons quelques instants en leur compagnie. Le papa, très attendrissant, nous explique que, ancien employé de bureau, il n'a eu la vie sauve durant le conflit avec les khmers rouges qu'en se faisant passer pour le fou du village... Le vie ne tenait à rien en cette triste période...
Instants "playa"...
nous rejoignons ensuite la plage
ici des paillotes et de modestes habitations
où vivent quelques familles
au bord du Mekong la vie s'étire doucement, paisiblement
En période de saison sèche la plage est un lieu prisé par les touristes et les locaux. Des paillotes sont installés au bord du fleuve à l'eau translucide et l'on peut y manger et s'y reposer ou jouer avec de grosses bouées mises à disposition.
Lors de notre visite la saison des pluies s'installait, le niveau du Mekong avait augmenté et son eau grise et boueuse avait recouvert la plage.
les paillotes sont remontées plus loin sur la berge
Notre guide rencontre d'anciens amis, tous installés sur une paillote, en train de manger et de discuter. Tout à son bonheur de les retrouver il nous "propose" d'aller faire un petit tour dans la campagne environnante le temps qu'il discute un peu avec eux... Cela nous fait sourire et nous lui accordons volontiers cet entracte. J'en profite pour acheter un ananas à une marchande locale : juteux et parfumé à souhait il me cale un peu l'estomac... il approche de midi et nous ne sommes pas prêts de rentrer sur la capitale !