NOTRE PLAN DE VOL
MARDI 5 FEVRIER
décollage de Bruxelles à 13 h 10
vol d'une durée de 11 heures jusque Bangkok (Thaïlande)
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MERCREDI 6 FEVRIER
. atterrissage à Bangkok à 6 h 10 heure locale
. escale d'un peu moins de 2 heures
. décollage de Bangkok à 8 heures heure locale
vol de 1 h 15 jusque Yangon en Birmanie
. atterrissage à Yangon à 8 h 45 heure locale
(oui il y a aussi un décalage horaire entre Bangkok et Yangon !)
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notre vol pour Bangkok est encore loin sur le tableau...
Nous y sommes ! Maintenant habitués aux vols longs courriers nous nous installons le plus confortablement possible en vue des 11 prochaines heures. Notre avion, un Airbus A350, propose à chaque passager un petit oreiller, une couverture, des écouteurs à brancher sur un écran où des films, musiques, jeux et plan de vol peuvent être consultés.
l'avion est une grande première pour Croquette
et c'est avec stupeur qu'elle observe la phase de décollage
Bon, on va la faire brève : après ces 11 heures de vol jusque Bangkok, après une escale de 2 heures et après un vol Bangkok-Yangon d'un peu plus d'une heure nous voici sur le territoire Birman.
il n'est que 9 heures et il fait déjà bien chaud !
Il est 8 h 45, nous devons maintenant rejoindre Mandalay, point de départ de notre road trip. Pour ça on avait le choix entre 8 heures de bus et 1 heure d'avion. On a préféré l'avion, toujours pour optimiser les temps de trajet. Nous aurions pu réserver le vol domestique décollant à 11 heures mais, très prudente, j'ai préféré celui de 16 heures pour parer à toute éventualité : retard du premier vol, retard du second vol, longue attente aux contrôles d'immigration, longue attente pour récupérer les bagages... Bref, nous ne sommes que le matin et nous devons attendre... attendre... atttendre notre vol de 16 heures.
Puisqu'on a beaucoup de temps devant nous on en profite pour changer nos euros en kyats à l'un des 3 bureaux de change dans le hall de l'aéroport. Chose assez curieuse les taux de change diffèrent selon la valeur des billets en euros, les plus "gros" ayant un taux de change plus avantageux. Nous sommes riches : pour 1 000 euros (largement suffisants pour ces 3 semaines de voyage) nous voici les heureux détenteurs de 1 620 000 kyats !
Ensuite, assis sur des chaises inconfortables dans le hall de l'aéroport, la tête dodelinante et les yeux papillonnants de fatigue... on a souffert ! Mine de rien, après un bref calcul, cela fait quand même depuis 21 heures que nous sommes debout. !
La matinée avance et notre vol pour Mandalay n'est toujours pas mentionné sur les tableaux d'affichage. Nous trouvons la chose assez curieuse et on commence un peu à s'inquiéter mais, après nous être renseignés à un guichet d'informations, on apprend que nous sommes ici au Terminal des vols internationaux. Notre vol partira du Terminal 3, terminal des vols domestiques ! OK mais bon, encore aurait-il fallu le savoir ! Nous prenons la navette gratuite et rejoignons ce terminal situé à quelques mètres.
arrivés au terminal 3 on en profite pour déjeuner et
notre première expérience de la nourriture birmane aura lieu
dans un restaurant typique du pays
tout comme nos premiers contacts avec la population birmane
Il est l'heure : nous rejoignons le hall d'embarquement et hop ! décollage pour Mandalay ! Nous avons à peine le temps de bien nous installer que déjà nous atterrissons.
Après avoir récupéré les bagages nous sortons et trouvons, parmi tous les chauffeurs attendant les clients, notre driver réservé au préalable par le biais de notre hôtel à Mandalay (15 000 kyats) et en voiture Simone !
L'aéroport de Mandalay ne se situe qu'à 36 km du centre ville et il nous faudra pourtant 1 heure pour arriver à l'hôtel. Sur la route, nous avons l'impression d'être revenus à Cuba ! routes cabossées, charrettes tirées par des boeufs sur la chaussée, des cyclomoteurs, des cyclistes, des piétons, des baraques de fortune bâties tout le long de la route...
Il n'est que 18 heures et le soir tombe déjà. Maintenant arrivés en ville nous voici dans les embouteillages : voitures, camions, scooters et vélos se partagent la route dans un bruyant bazar de coups klaxons. Enfin, nous sommes arrivés à l'hôtel !