Jour 4 - Anuradhapura - visite de Mihintale

Jour 4 - Visite de Mihintale puis départ pour Sirigirya

flèche à garder Jeudi 28 Juillet flèche à garder 

Au programme aujourd'hui : le site de Mihintale le matin puis départ dans l'après-midi pour Sigiriya (chauffeur réservé auprès de l'hôtel).

Une fois cette logistique réglée, nous partons à la gare de bus (New Station Bus) pas loin. Nous avons décidé aujourd'hui de tester les bus locaux. Les gares de bus au Sri Lanka sont des lieux très animés. Une multitude de voyageurs et de cars arrivent et partent vers différentes directions. Il n'est pas facile de trouver le bon bus car il n'y a pas beaucoup (voire pas du tout) d'information mais il y aura toujours un sri lankais pour vous renseigner.

Nous voici installés dans le bus pour Mihintale. Les bus locaux sont d'un confort très très sommaire, souvent décorés de bouddhas clignotants avec toujours de la musique tonitruante et même parfois des écrans diffusant des clips.

un exemple d'enceinte dans un bus

bus sri lanka

un exemple de rampe de bouddhas clignotants

bus sri lanka

L'avantage des bus locaux au Sri Lanka, c'est qu'ils ne sont vraiment pas chers. L'inconvénient, c'est que les temps de trajets sont énormes car les arrêts fréquents. Nous mettrons ainsi 40 mn pour arriver à Mihintale situé à 15 km de Auradhapura.

bus au sri lanka

voyez, le chauffeur conduit pieds nus

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Le chauffeur est toujours accompagné d'un second homme chargé de renseigner les touristes (comme nous par exemple), mais surtout d'encaisser l'argent et délivrer les tickets... enfin quand je dis tickets, je devrais dire petits bouts de papier sur lesquels figure le montant du trajet.

nous avons payé 30 roupies par personne, ce qui équivaut à 0,18 €
pour un trajet de 40 minutes
!

bus au sri lanka

Nous arrivons à Mihintale. Pour savoir à quel arrêt descendre rien de plus simple, il suffit de demander à l'"adjoint" au chauffeur de nous signaler à quel moment descendre selon le site que nous désirons visiter.

déposés au bord de la route principale de la ville, le site se profile déjà au loin

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Nous tournons à droite juste après l'arrêt du bus, marchons quelques minutes et nous voici arrivés à l'entrée du site, bien indiquée. Nous sommes déjà accostés par des prétendus guides qui nous proposent une visite guidée mais nous déclinons. Ici aussi j'ai mes infos papier en main et nous préférons être seuls et prendre ainsi tout notre temps pour visiter.

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Visite de Mihintale

l'entrée du site

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Nous sommes ici dans ce que l'on appelle la partie basse du site. Tout en marchant nous arrivons devant l'ancien hôpital.

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Un guide manifestement très officiel car vêtu d'un tee-shirt portant l'inscription du site nous propose la visite des lieux. Nous acceptons volontiers tout en sachant bien entendu que quelques roupies passeront de notre poche vers la sienne.

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Cet ancien hôpital date du 9e siècle. Très abimé, on devine encore la forme des petites cellules-chambres où logeaient les malades.

Ici une baignoire de pierre à forme humaine qui servait manifestement aux bains curatifs. Mihintale était aussi un lieu de cure pour les malades.

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Nous visitons ensuite le petit musée un peu plus loin sur la gauche. L'entrée est gratuite mais on est rapidement rejoints par un responsable qui, encore une fois, nous fait la visite guidée... Et ce sont encore quelques roupies qui quittent notre poche. Ici pas de photos car elles sont interdites !

Une première volée de marches nous attend. Ce ne seront que les premières d'une longue liste !!!!! A Mihintale, il n'y a que ça : des marches ! 1 843 au total selon les guides !

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nous sommes attendus

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au sommet une plate-forme
avec un petit dagoba et... des marches dans le fond !

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nous partons à l'assaut de l'escalier

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au milieu un gang de singes

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Nous sommes devant le dagoba Kantaka Chaitya.

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à chaque point cardinal, un autel orné d'une frise d'éléphants

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Derrière le dagoba, un énorme rocher marque l'entrée d'un passage menant à un espace de verdure et de blocs de pierre.

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vue à la sortie du passage

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vue aussi sur une des collines de Mihintale et le dagoba Mahaseya

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il n'y a pas que des singes à Mihintale

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ce grand et superbe écureuil nous fait l'honneur de se restaurer sur place

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Après l'avoir observé un long moment nous continuons la visite. Juste sur notre droite, devinez, un escalier ! Celui-ci descend et mène à un parking où se trouve la seconde entrée du site.

C'est à ce niveau intermédiaire que nous devons régler les droits d'entrée (500 roupies/personne).

Ici se trouve le Sinha Pokuna (bain du lion), petit bassin sur le flanc duquel est adossée une grande sculpture de lion dressé sur ses pattes arrière. Si si, c'est bien un lion sur la photo. En prenant appui avec les mains sur les pattes avant de l'animal on pouvait boire directement à la source : l'eau sortait du trou présent dans la gueule du fauve.

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A côté, le Conversation Hall.

au centre de ce carré une petite dalle où devait se tenir le dignitaire
menant les discussions lors des réunions monastiques

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Pas loin la
salle des reliques.

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De chaque côté de l'entrée se dressent 2 stèles gravées de textes qui expliquent très précisément toutes les règles de vie de la cité monastique à savoir par exemple l'heure du lever, le changement de robe, la conduite à tenir envers un malade, les tarifs à appliquer pour la location des terres arables, et même de bien se brosser les dents !

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la traduction en anglais est inscrite sur une plaque métallique

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quelques vues générales

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Un peu plus loin, en contrebas, se trouve le réfectoire des moines. Il est facilement reconnaissable par sa longue écuelle de riz (à droite sur la photo, là où se trouvent des visiteurs).

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Le réfectoire est bien ruiné mais l'écuelle, de près de 10 mètres de long, est une pièce exceptionnelle absolument intacte. Ce bateau de riz (rice boat) pouvait contenir plus de 2 000 bols de riz et servait à distribuer la nourriture aux moines et aux pélerins faisant halte ici à Mihintale. Un aqueduc apportait de l'eau depuis un étang alimenté par une source et situé sur un plateau au flanc d'une colline plus loin.

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voyez la longueur

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juste pour le fun

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Maintenant, une bonne grimpette nous attend avec l'escalier sacré.

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Ici nous n'en sommes qu'au début, vous ne pouvez même pas voir le sommet tellement il est longgggggggggggggggggg !

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C'est sous un soleil de plomb que nous montons (tant qu'à faire il vaut mieux visiter Mihintale le matin tôt). Tout le long quelques petites boutiques proposent des souvenirs divers. Au loin nous pouvons voir la colline surmontée d'un magnifique bouddha blanc.

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Arrivés au sommet, les ennuis commencent.... Ici nous devons nous déchausser pour la suite de la visite. Si vous voulez un petit conseil, enfilez des chaussettes : cela vous évitera de vous brûler les pieds sur le sol brûlant et vous protégera des petits cailloux. Le ridicule ne tue pas ! chaussettes.

Sur l'esplanade, nous découvrons d'abord le dagoba Ambasthale (dagoba du manguier).

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C'est ici qu'eut lieu un événement très important dans l'histoire de l'île. Une petite leçon d'histoire s'impose :

Mihintale tient une place importante dans l'histoire nationale.

En 247 avant JC, sur cette colline, le roi Davanampiya Tissa d'Anuradhapura rencontra Mahinda qui était le fils du
grand empereur bouddhiste indien Asoka (oui je sais, personne ne sait qui ils sont mais bon, rendons à César ce qui est à César).

Mahinda, pour passer le temps, s'amuse à tester la sagesse du roi.
Comme il voit que le roi a bien compris le truc et qu'il serait un disciple possible, il le convertit tout de suite.

Tout ça pour dire que Mihintale est depuis considérée comme le point d'entrée du bouddhisme au Sri Lanka.
Près de 2 000 moines y résidaient jusque la fin du IVe siècle.

Le dagoba est entouré de 2 rangées de piliers qui devaient supporter un toit.

sur la droite, l'empreinte du pied de bouddha, dans le fond le rocher Aradhana Gala

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à gauche du dagoba le bouddha blanc

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près du dagoba Ambasthale, la statue du roi Davanampiya Tissa d'Anuradhapura
qui fut converti au bouddhisme

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Sur l'esplanade, juste à côté du dagoba, se trouve un petit édifice doré entouré d'une barrière. Il abrite l'empreinte du pied de Bouddha

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La trace n'est pas distincte du tout mais on peut tout de même voir que Bouddha devait chausser au moins du 72 !

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Nous montons maintenant au bouddha blanc. Les marches sont à peine sculptées dans la pierre et à chaussettes il faut être prudent mais nous y sommes arrivés !

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c'est usant les vacances !

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La récompense est au sommet : une vue magnifique sur le site et la campagne environnante. Le bouddha est énorme et sa blancheur sur un fond de ciel bleu est magique.

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vues sur la campagne autour de Mihintale

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vue sur le dagoba Mayaseya sur la colline en face

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vue sur le rocher Aradhana Gala

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On redescend pour voir un peu ce qu'il y a sur la gauche. Là une sorte de temple au fond duquel se trouve un petit bouddha en or protégé par une vitre. Devant, sur l'autel, des bijoux en or en guise d'offrandes.

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A partir de là nous descendons quelques marches pour aller vers les Mahinda's cave. Nous décidons de rebrousser chemin rapidement car on ne voit pas le bout du chemin et nous sommes un tantinet fatigués. Nous partons à l'assaut du rocher Aradhana Gala.

La montée n'est pas aisée : les marches taillées dans la roche sont très inégales, parfois à peine visibles, et marcher à pied nus complique encore les choses.

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à mi parcours, nos efforts sont récompensés par ce panorama

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Tout en haut nous devons emprunter des passerelles et des escaliers heureusement sécurisés par une rambarde.

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enfin arrivée ! bravo

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magnifique vue à 360°

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je sais, j'ai fermé les yeux

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essaie encore... encore raté !

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On redescend maintenant pour aller sur la dernière colline, de l'autre côté de l'esplanade du dagoba Ambasthale. Encore une fois des marches... A 300 m de haut, sur une esplanade, se dresse le dagoba Mayaseya. Après l'empreinte de Bouddha, ici le dagoba contiendrait l'un de ses cheveux...

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une fois arrivés, voici la vue

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Bon, je ne sais pas vous, mais nous on en a un peu assez : soleil, chaleur, mal aux pieds, mal aux cuisses, bref il était temps que la visite s'arrête.

d'ailleurs nos chaussettes s'en souviennent encore !

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Bilan de la visite de Mihintale    Bien

Nous avons bien aimé le site, davantage que celui de la cité de Anuradhapura.

Il est vrai qu'après avoir déjà vu la cité d'Angkor au Cambodge Anuradhapura nous a semblé bien fade.

C'est vraiment la partie haute ici qui nous a le plus intéressés avec ses 4 sites qui sont à ne manquer sous aucune prétexte.

Si c'était à refaire, ce serait oui sans hésitation.


On prend le chemin inverse (chouette, on descend les escaliers !) mais, au niveau du parking 2, on décide de ne pas prendre le même chemin qu'à l'aller.. mal nous en a pris car le trajet de retour est plus long. Cela nous permet cependant de rencontrer une grande famille venue pique-niquer au bord de la route. Nous discutons un peu avec eux et ils nous proposent même de se joindre à eux. Un peu gênés nous déclinons l'invitation pourtant très alléchante..

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Nous arrivons enfin dans le centre de la ville. Il est quand même plus de 13 heures et le petit déjeuner est déjà très très loin. Nous cherchons un petit resto local sympa mais on ne peut pas dire que Mihintale soit une ville dédiée au tourisme et ici point de warung.... Nous trouvons quand même une sorte de café-resto-supérette très très local. Notre déjeuner se composera aujourd'hui de "croquettes" épicées aux légumes et à la viande, brioches sucrées et bananes.

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le distributeur de serviettes... des feuilles de papier journal

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Ce n'était pas un restaurant classé 4 étoiles au Guide Michelin mais, et vous nous croirez si vous voulez, on a bien mangé et c'était super bon !

Nous trouvons ensuite sans difficulté le bon arrêt de bus et nous rentrons à l'hôtel.

Le rendez-vous avec le chauffeur n'est prévu qu'à 16 heures, on a encore le temps de s'accorder une pause détente sur la terrasse, avec une bonne bière ! Nous le méritons bien après de tels efforts !

Départ pour Sigiriya et présentation de notre homestay

A 16 heures, départ pour Sigiriya et l'on arrive à la guesthouse à 17 h 30. Nous avons réservé Chez "Lal Homestay" (plus d'infos ici). Nous y dormirons les 3 prochaines nuits. Dès notre arrivée nous sommes très bien accueillis par Lal qui nous conduit à notre chambre située dans le fond de la propriété comme nous l'avions demandé lors de la réservation : cette chambre est en effet plus au calme et possède sa propre salle de bains.

notre chambre est celle de gauche dans le fond

chez lal sigiriya

l'entrée de la propriété

chez lal sigiriya

devant, la seule rue qui mène en "centre ville" car Sigiriya est une impasse

chez lal sigiriya

les chambres à l'entrée, plus petites
et dont la salle de bains est à partager avec celle de la famille

chez lal sigiriya

Ici pas de verre de bienvenue mais Lal nous propose de goûter à son rice and curry (réputé dans les guides). Nous devons lui répondre rapidement car il faut, dit-il, un certain temps pour le préparer. Nous acceptons et ne le regretterons pas : à 19 h nous nous attablons avec un jeune couple de touristes et goûtons à cette cuisine tout à fait typique du Sri Lanka : riz, poulet et légumes à profusion, des légumes que nous ne connaissons mais Lal, toujours prévenant, s'empresse de nous dire ce que c'est tout en nous montrant les légumes frais. Si vous avez la chance de séjourner ici nous vous conseillons vivement de goûter à ce rice and curry, ce fut l'un des meilleurs que nous avons mangé et à un prix plus que raisonnable : 600 roupies pour un repas (environ 4 €).

Après ce délicieux repas on retourne à la chambre pour la traditionnelle séance facebook pour donner les nouvelles à la famille.

Ce n'est pas encore demain que nous allons nous reposer : visite de grottes le matin et ascension d'un rocher l'après-midi flèche à garder

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